Ce Dimanche 19 novembre 2023, La Carneille a inauguré son gadage*, dans le verger communal, au cours d'une cérémonie en hommage à Marcel Forget, ancien propriétaire de l'objet et présence de sa soeur.
Ce blog sur La Carneille vous informe sur ce village de la commune d'Athis Val de Rouvre, dans l'Orne (61) dans les collines de la suisse Normande.
Quarante convives ont partagé le repas offert aux anciens des communes de La Carneille et des Tourailles, en présence des élus, Dominique Letreut, maire délégué de La Carneille et Odile Gauquelin, maire déléguée des Tourailles. Quatre personnes ont été mises à l’honneur en présence d’Alain Lange, maire d’Athis-Val-de-Rouvre (Orne) et conseiller départemental : Gisèle Boulay, 92 ans et André Lemancel, 92 ans de La Carneille ; Christine Weir, 87 ans et Augustin Olivier, des Tourailles.
Alain Lange a ensuite fait le point sur les communes :
Notre village de La Carneille s’agrandit et comprend aujourd’hui 590 habitants. Trois personnes sont nouvellement arrivées. Je me félicite que M. Chevalier-Maréchal, sculpteur et photographe, s’ajoute à la liste des artistes de La Carneille, dont la réputation de village artistique n’est plus à faire
.
Le devenir du restaurant, est aussi à l’ordre du jour pour les élus. Nous avons récupéré les clés et une réflexion est engagée parmi le conseil sur deux points importants : les travaux de remise en état et le challenge de retrouver un restaurateur, au risque qu’il reste à nouveau peu de temps.
Quant au projet de piste cyclable, Flers agglo a réalisé une étude et, lors du résultat, Athis-Val-de-Rouvre a décidé de prioriser une étude pour faire la liaison Athis-de-l’Orne – Flers. Pour ce qui est d’aller plus loin, c’est un investissement de très long terme, toutefois, pour commencer à aller dans ce sens, dès qu’il y a des travaux, on essaie d’inclure un aménagement cyclable chaque fois que c’est possible
. Par exemple, pour les travaux engagés à Ségrie-Fontaine et La Carneille, le bureau d’études étudie la faisabilité d’une piste cyclable. Parmi les projets terminés : L’agrandissement de l’épicerie qui permet aux gérants d’avoir plus d’espace pour l’agencement de nouveaux rayons, le stockage des marchandises et le service poste.
Le parking végétalisé, derrière l’école, permet aux parents et enfants d’y accéder directement, ainsi qu’à la mairie. Quant au petit marché mensuel de producteurs locaux et d’artisanat, il vit sa vie et est essentiel pour ces acteurs du territoire.
La suite a lire sur : www.ouest-france.fr/en normandie les-anciens-de-la-carneille
Les gens qui viennent vous parler sont toujours bienveillants. Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille Pour des raisons évidentes de météo, la pratique extérieure est destinée à la saison estivale. De plus, le siège est un outil devenu indispensable. « Quand j’étais jeune, je me posais par terre… Maintenant, j’ai besoin d’un support pour m’asseoir », sourit la femme.
« J’ai trouvé le village vivant, ces maisons sont magnifiques. Il est fleuri, joyeux et plein de vie. Malgré cela, il respire l’histoire. On ressent un lieu qui a un vécu. »
Outre le calme et la tranquillité de l’adresse, l’artiste souligne l’amour qui ressort du bourg.
En discutant, je me suis rendu compte à quel point ces habitants sont amoureux de leur village.
Entre ces quatre aquarelles sur La Carneille, l’artiste a vagabondé. « C’est un loisir, je fais en fonction de mes envies, par plaisir. » Dessinatrice depuis toute petite, la femme a repris il y a une vingtaine d’années.
« J’ai recommencé à dessiner… Je me suis dit que je n’étais pas si mauvaise que ça », rigole Abby. « Depuis, j’ai continué. »
Extérieur ou intérieur, ce n’est pas la même pratique pour l’artiste. « Chez moi, je peins des formats plus grands qui demandent plus de temps, environ quatre heures. Le coup de pinceau est moins spontané. »
Dehors, l’atmosphère n’est pas la même. « On est dans sa bulle. Je prends beaucoup de plaisir à peindre dans la rue, car on fait de belles rencontres
Source actu
Saint Hubert est invoqué pour le succès des chasses et la protection des chiens, et des chevaux.
Bénédiction de la meute.Dès 9h sonné, différentes animations prenaient place devant l'église St Pierre et Paul avec des sonneries de trompes de chasse, des rassemblements de chasseurs, les Compagnons de St Hubert.
La carneille est consacré aux chevaux avec différents éleveurs et son ranch.
La st Hubert est fêté au Haras du pin maintenant.
"Il aimait la rencontre des hommes et femmes, dans l’écoute bienveillante et fraternelle"
Philippe Pottier
La qualité de vie en priorité Frère Emmanuel raconte : « la qualité de notre vie communautaire est le premier élément de notre vie missionnaire. » Comme les autres frères de la communauté, chacun avait ses propres activités propres.
« Il aimait s’occuper de fleurir la chapelle, faisait aussi un bouquet pour la salle à manger de la communauté. Il y a un petit jardinet où le frère Claude cultivait des dahlias, zinnias, cosmos, glaïeuls et alstroemerias. »
Avec le frère Paul, il participait au travail du jardin, notamment pour la plantation et la récolte des pommes de terre. « Frère Claude avait le souci de nettoyer les abords du prieuré en faisant régulièrement du désherbage », souligne frère Emmanuel.
Au même titre que les autres frères de la communauté, il prenait sa part dans la préparation des offices et de la messe. « Lors d’une fête, il aimait enrichir la prière d’un texte propre. »
Avec son tempérament propre, le frère Claude participait à l’accueil et rendait des visites gratuites aux voisins.
Il faisait partie du groupe des Claudos qui regroupait tous les Claude du coin. C’est d’ailleurs au sein de la communauté que s’est déroulé le repas cette année.
Les frères missionnaires des campagnes vous invitent à l’ouverture du mois de la création, le vendredi 1er septembre 2023.
L’évènement débutera à 19h30 à l’église de La Carneille. Plusieurs questions seront abordées : de quelle justice sommes nous témoins ? Comment la paix se concrétise-t-elle autour de nous ? Et comment la vivons-nous ?
Les participants échangeront durant une heure.
Une marche et partage se tiendra à 20h30. Le retour à l’église, ainsi que l’accueil des nouvelles personnes, sera suivi d’un partage de notre réflexion en petits groupes et d’une action de grâce. On peut prévoir d’apporter un petit morceau de tissu bleu qui servira lors de la veillée.
Ce lundi 24 sur France culture
Guillaume Martin présente la double particularité d’être à la fois cycliste professionnel et philosophe, et de construire sa philosophie non pas après-coup, une fois retraité des courses, mais dans le mouvement même de sa pratique.
"L’ego est indépassable"
Le "vélosophe" Guillaume Martin insiste sur deux thèmes fondamentaux. Le premier est l’existence d’une double intelligence, celle, théorique, de l’esprit et celle, pratique, du geste efficace ; le second est résumé dans la formule "L’ego est indépassable", car "Le problème du cyclisme, c’est qu’il n’y a qu’un seul vainqueur".
Vous pouvez réécouter sur le lien https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-vrai-metier-des-philosophes/guillaume-martin-philosophe-et-cycliste-professionnel-1252680
Guillaume Martin, Socrate à vélo, Grasset, 2020
Guillaume Martin, La société du peloton. Philosophie de l’individu dans le groupe, Grasset, 2021
Quelques jours après avoir terminé son Tour de France, l'Ornais Guillaume Martin revient sur ses trois semaines de course, à l'issue desquelles il termine 10e du général. Ici