Un des éléments phares du costume féminin du début XIX ème est le reflet d’un art de vivre, indissociables des somptueuses jupes, corsages et châles-tapis aux couleurs chatoyantes, les coiffes de Normandie, furent jadis, à la ville comme à la campagne, aussi bien l’apanage des servantes, des maîtresses de maison que des riches bourgeoises.
Femme portant le Pierrot, à la forme fuselée, composé d’un fond en mousseline brodée et d’un double volant.
Ouvrier portant sa blaude.
Pendant longtemps, le « bonnet de coton » fut la coiffure nationale des Normands, hommes et femmes.
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Sur la route de Landigou.
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Les grandes coiffes de Normandie, qui arrivent à leur apogée vers 1850, disparaissent passé 1880, les riches dentelles et fonds de coiffe sont définitivement relégués aux oubliettes de l’Histoire et seront convertis en bonnettes.
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Blaude brodée portée sur une chemise à col et foulard imprimé noué par dessus.
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1968- 2018
Les pavés de La Carneille
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